Tibetan Yogas of Movement are variously known in Tibetan as Trulkhor ('khrul 'khor/'phrul 'khor) and by extension known as Tsalung Trulkhor.
It tranlates as Illusory Movements or Magigal Movements and as illusory magical movements related to the subtle channels and vital energies. The later expression tsalung trulkhor is used by certain Western groups although it is not so well established as synonym for Trulkhor as such.
Its Indian and Sanskrit expression is Yantra and Yantra Yoga where the later is a special kind of yantra or trulkhor inreoduced in Tibet by Padmasambhava and Vairocana in the 8th century.
These practices have been used for thousands of years to open and awaken the energy centers and channels of the subtle energy body.
They can enhance your physical fitness, mental well-being, and spiritual growth. By clearing uncomfortable emotions and other obscurations, they can open the space from which joy, love, compassion, and other enlightened qualities spontaneously manifest.
In each practice you will be guided to bring to mind the specific obstacles you are personally facing in life, so you can clear them, access their antidotes, and transform your life in profound and lasting ways.
First, you will learn the Nine Breathings of Purification, which help you to clear “the three poisons” of ignorance, anger, and attachment from three primary channels in your body, as a powerful means of connecting with the natural mind.
Next, through the Five Tsa Lung Exercises, you will use simple body movements to unblock and clear five primary chakras (energy centers) within the body’s central channel, in order to tap into the treasure of deeper wisdom and enlightened qualities that are always available to you.
The power of each practice relies on the correct focus of mind as you guide your breath—and with it, the subtle breath known as prana, chi, or lung—into and through the visualized channels and chakras, releasing obstacles and obscurations through physical movement and with the exhalation.
Le Trulkhor est une pratique quotidienne merveilleuse, surtout pour contrôler et gérer le stress de la vie moderne dans la société.
Il a le pouvoir d'équilibrer les énergies du corps , de l' esprit, et il aide aussi énormément à soutenir ses pratiques de méditation.
Le Tantra Mère Bön , entre autres textes tantriques, explique que l'esprit monte sur les courants du souffle vital (ou énergie) , comme un cavalier sur un cheval, et les deux voyagent ensemble à travers les voies des canaux.
Comme le souffle qui circule dans les canaux devient plus équilibré, les canaux deviennent de plus en plus souples, permettant aux courants du souffle vital de trouver leur propre rythme de manière fluide.
En outre, avec l'aide de mouvements qui guident l'esprit et les courants du souffle vital dans les différents domaines, la pratique apporte la possibilité de guérir le système corps-énergie-esprit, qui est le modèle de bonne santé en médecine tibétaine.
Ces mouvements prennent leur source dans la tradition Bon, en descendance directe depuis le royaume de Zhang Zhung. Cet ancien royaume occupait l'actuel Tibet occidental et fut absorbé par l'empire tibétain au 7ème siècle.
C'est là que naquit le Bön, il y a 18 000 ans, avec la venue sur Terre de Tonpa Shenrab, lequel aurait reçu l'enseignement parfait du dzogchen directement du bouddha primordial Kuntu Zangpo.
Selon la tradition bonpo, l’enseignement du dzogchen se transmit tout d’abord au Zhang Zhung, comme l'indique le nom de son texte principal, la Tradition orale du Zhang Zhung (« Zhang-zhung Nyan-gyud » : Textes sacrés anciens ).
Les lamas du Zhang Zhung auraient porté, comme les rois, des coiffes à cornes, des turbans de soie blanche, et des manteaux de peaux de fauves. Dans certains textes, le souverain est nommé « merveilleuse présence lumineuse » ; il était peut-être considéré comme une incarnation divine.
Il existe actuellement un dialecte zhang-zhung, langue de la famille himalayenne du tibéto-birman, parlé par quelque 2000 locuteurs vivant dans la vallée de Sutlej.
Néanmoins, il n’est pas prouvé qu’il soit l’héritier de l’ancienne langue principale du royaume de Zhang Zhung.
Trul Khor, ou « Roue Magique » ou «mouvement magique» est une pratique tibétaine distinctive du yoga .
Contrairement aux principes indiens de yoga, où le praticien a pour but de maintenir une posture physique avec le souffle qui coule naturellement, dans le yoga trul khor le praticien retient toujours son souffle pendant que le corps est en mouvement .
De cette façon, il guide son souffle, qui à son tour guide l'esprit.
Les traditions religieuses tibétaines ont employé le trul khor dans le cadre de leur formation spirituelle depuis au moins le dixième siècle. Bien que le trul khor se trouve dans les cinq traditions spirituelles du Tibet, il est le plus répandu dans les écoles Kagyu, Nyingma, et Bon.
Il se peut que le trul khor eut été pratiqué depuis plus longtemps mais il fut préservé seulement dans une transmission orale . Les textes écrits nous rapportent que le trul khor fut pratiqué depuis le onzième siècle et au treizième siècle on trouve les célèbres yogis tels que Marpa, Naropa et Drugyalwa Yungdrung.
Jusqu'à récemment, les Occidentaux se sont concentrés sur la réception des enseignements tibétains qui développent l'esprit, mais au cours des cinq dernières années , il y eut un intérêt croissant pour les yogas physiques tibétains.
Il est expliqué dans les traditions tibétaines que lorsque les canaux du corps d'énergie subtile sont clairs et que les vents (souffle vital) circulent à travers eux sans entraves, l'état naturel de l'esprit - la nature de l'esprit - calme, silencieux, libre de toute pensée, est révélé .
Cet état d'esprit naturel ne peut pas être créé ou détruit. Il est universel, non né, sans tâche. Les mouvements du Trul-Khor servent à clarifier les dissonances énergétiques qui obscurcissent cette conscience claire et ouverte .
En harmonisant le souffle vital et en guidant son écoulement à travers les dimensions physiques et énergétiques, le Yoga Trul khor peut effacer des blocages de longue date dans le corps, l'énergie, et l'esprit du praticien .
Cette pratique soutient l’élévation spontanée de la conscience pendant la méditation mais aussi dans la vie quotidienne.
La pratique du Trul-Khor soutient l'attention méditative tout en aidant à réduire la somnolence, l'agitation et en améliorant la santé physique.
LA PRATIQUE
Les mouvements par eux-mêmes sont composés d'un set de 7 cycles pour un total de 38 mouvements.
La pratique consiste principalement en des mouvements de Tsa Lung.
Géshé Lhundup enseigne les pratiques énergétiques tibétaines dont une grande partie provient de l'ancien Tantra Mère, A-Tri et le Trul-khor provenant de la transmission orale de Zhang Zhung (« Oral Transmission of Zhang Zhung : Zhang-zhung Nyan-gyud » Textes sacrés anciens).
Jusqu'à la fin du 20e siècle , ces anciens enseignements ont été gardés secrets et ont été délivré à très peu d' étudiants de toutes générations. Pour ces raisons, assister à des enseignements peut être considéré comme une occasion précieuse.
" Le pouvoir du souffle est reconnu depuis des milliers d'années comme partie intégrante de la santé, du bien-être et de la découverte spirituelle . "
Le yoga tibétain ou Trulkhor est un système de mouvements composé de plus d’une centaine de formes principales et secondaires offrant d’inconcevables bienfaits en permettant d’éviter la maladie et en procurant un bien-être physique et psychologique.
Tradition bien établie depuis des milliers d’années au Tibet, qu’il s’agisse de la méditation yogique, de la pratique corporelle, de la pratique du souffle ou du son, le Trulkhor ou yoga tibétain propose d’excellentes méthodes pour soigner naturellement, facilement et à moindre coût les maladies et difficultés de l’esprit et du corps.
Progressivement établie de manière expérimentale, le Trulkhor a été conçu comme une suprême méthode de santé destinée aux nombreux yogis consacrant leur vie à la pratique bouddhiste dans des grottes de l’Himalaya, loin de tout médicament ou médecin, pour leur permettre de surmonter leurs difficultés mentales et physiques.
Le but ultime du yoga tibétain n'est pas physique. C'est une pratique mentale et spirituelle ayant pour objectif d'atteindre l éveil de la conscience : un état de connaissance innée et de réalisation du but de la vie présente. C'est ainsi que le Bouddha fit en pratiquant la méditation à Bodhgaya, sous l'arbre du Boddhi, il y a 2500 ans.
En Occident, le yoga indien fût diffusé par de nombreux professeurs comme étant simplement un ensemble d'exercices physiques, une gymnastique en quelque sorte, l'intégralité spirituelle des pratiques qui allaient avec, ayant été mises de côté ou oubliées...
L'expression du yoga tibétain en Occident en est à ses débuts, aussi nous avons la chance de voir arriver un système complet d'enseignements permettant de développer l'intégralité de ces pratiques, que sont :
des pratiques respiratoires (Pranayama)
des pratiques de yoga du corps, à travers des postures, lesquelles ont apporté leur preuve d'efficacité pour guérir, modifier et améliorer dans de nombreux sens, les conditions physiques
des pratiques d'entrainement de l'esprit à travers les méditations
la récitation de mantras qui permet de libérer les émotions
Parmi celles-ci, citons le PRANAYAMA, la PRATIQUE DU SON (et Récitation de Mantra) et LA MÉDITATION :
Le PRANAYAMA présente quatre aspects : l’inhalation, le remplissage, la pression et l’expiration. Sur cette base, non seulement on inspire l’énergie naturelle des éléments extérieurs et on expulse les souffles internes viciés, mais on nettoie aussi les cinq souffles principaux du corps. Cette action du souffle ouvrant les portes des canaux subtils du corps, cela désobstrue ces derniers.
Longtemps gardé secret, il est avant tout considéré comme un préliminaire à la méditation. Il n'en offre pas moins de réels bienfaits physiques, énergétiques et psychologiques.
Son fondement, la libre circulation des Lung (souffles vitaux) , est exploré à travers trois cycles principaux :
Lire + : Méthode et bienfaits du Yoga Tibétain - Article de Blog
La PRATIQUE DU SON consiste à éliminer les troubles et la mauvaise circulation des souffles dans les canaux subtils en se servant de sonorités fortes, faibles ou intermédiaires associeées à des qualités féminines, masculines ou neutres.
Quant à la pratique de LA MÉDITATION il en existe de très nombreuses formes (méditation analytique, méditation de placement, calme mental, vision supérieure, etc.) mais elles trouvent toutes leur fondement dans la concentration focalisée de l’esprit ou pacification du mental. En apprenant à garder une attention continue, le corps et l’esprit se détendent et les difficultés telles que l’émergence de facteurs mentaux perturbateurs ou le stress se libèrent. Ces techniques sont très efficaces pour régler les problèmes de pression artérielle ou de déprime.
Ainsi, l’expérience passée et la science ont clairement démontré que ces pratiques corporelles sont d'une inconcevable efficience pour écarter les maladies liées au souffle, à la bile, au phlegme ou à la combinaison des trois, et contribuer au bien-être physique et psychologique.
Les yogas tibétains ont donc la particularité, par leur approche complète et préservée depuis leur origine, intégrant des pratiques à la fois sur le corps physique, sur le corps subtil, sur le souffle, et sur l'esprit, de fondamentalement modifier chacun, afin d'atteindre la santé physique, le bonheur intérieur, et la paix de l'esprit.
Que ce soit dans de nombreux monastères, ou bien même avec des yogis, ces yogas tibétains ne sont pas enseignés très ouvertement .
Alors que traditionnellement ces pratiques furent enseignées et pratiquées seulement après que l'étudiant ait suivi de nombreuses années de formation de méditation, certains maîtres tibétains enseignent maintenant plus ouvertement, comme beaucoup d' autres pratiques méditatives, mais avec la supervision appropriée. D' autres enseignants maintiennent le secret des pratiques de Trul khor supérieurs.
Tarthang Tulku Rinpoche (issu de l'école Nigmapa ) commençât à enseigner le yoga Kum Nyé aux Occidentaux en 1969, sur la côte Ouest des Etats-Unis. Son premier livre sur le Yoga Kum Nyé fût publié en 1971.
Chogyal Namkahai Norbu (issu de l'école Bön Zhang Zhung ) commençât quant à lui à enseigner le Yantra Yoga en 1971, en Italie. Son premier libre sur le Yantra Yoga fût publié quelques années plus tard.
Tenzin Wangal Rinpoche, beaucoup plus jeune, commençât à enseigner aux Occidentaux dès lors qu'il s'installât aux Etats-Unis en 1991.
D'autres enseignants de yogas tibétains : tels que Khenpo Tsultrim Gyamtso, issu de la tradition Kagyu, enseigne les pratiques publiques et avancées. Il débutât ses enseignements auprès des Occidentaux en 1977 à Paris et Lama Norlha du monastère Kagyu Thubten Choling, où le trulkhor est enseigné uniquement dans le cadre de la retraite de trois ans.
Deux grands courants du trul-khor sont aujourd'hui diffusés en Occident :
L'une est celle de Chogyal Namkhai Norbu dont la tradition du Trul Khor est connue sous l'appellation anglaise de "Yantra Yoga".
L'autre est celle du Trulkhor tel qu'enseigné dans les monastères Bönpo dont la tradition du Trul Khor est connue sous l'appellation "Trul-Khor". Les mouvements du Trul Khor trouvent leur origine dans la très ancienne tradition Bön.
Ces mouvements prennent leur source dans la tradition Bön, en descendance directe depuis le royaume de Zhang Zhung. Cet ancien royaume occupait l'actuel Tibet occidental et fut absorbé par l'empire tibétain au 7ème siècle.
C'est là que naquit le Bön, il y a 18 000 ans, avec la venue sur Terre de Tonpa Shenrab, lequel aurait reçu l'enseignement parfait du Dzogchen directement du bouddha primordial Kuntu Zangpo.
Selon la tradition bönpo, l’enseignement du Dzogchen se transmit tout d’abord au Zhang Zhung, comme l'indique le nom de son texte principal, la Tradition orale du Zhang Zhung (« Zhang-zhung Nyan-gyud » : Textes sacrés anciens ).
Les lamas du Zhang Zhung auraient porté, comme les rois, des coiffes à cornes, des turbans de soie blanche, et des manteaux de peaux de fauves. Dans certains textes, le souverain est nommé « merveilleuse présence lumineuse » ; il était peut-être considéré comme une incarnation divine.
Il existe actuellement un dialecte zhang-zhung, langue de la famille himalayenne du tibéto-birman, parlé par quelque 2000 locuteurs vivant dans la vallée de Sutlej. Néanmoins, il n’est pas prouvé qu’il soit l’héritier de l’ancienne langue principale du royaume de Zhang Zhung.
LE PRINCIPE
Il est expliqué dans les traditions tibétaines que lorsque les canaux du corps d'énergie subtile sont clairs et que les vents (souffle vital) circulent à travers eux sans entraves, l'état naturel de l'esprit - la nature de l'esprit - calme, silencieux, libre de toute pensée, est révélé .
Cet état d'esprit naturel ne peut pas être créé ou détruit. Il est universel, non né, sans tâche. Les mouvements du Trul-Khor servent à clarifier les dissonances énergétiques qui obscurcissent cette conscience claire et ouverte .
En harmonisant le souffle vital et en guidant son écoulement à travers les dimensions physiques et énergétiques, le Yoga Trul khor peut effacer des blocages de longue date dans le corps, l'énergie, et l'esprit du praticien . Cette pratique soutient l’élévation spontanée de la conscience pendant la méditation mais aussi dans la vie quotidienne.
La pratique du Trul-Khor soutient l'attention méditative tout en aidant à réduire la somnolence, l'agitation et en améliorant la santé physique.
LA PRATIQUE
Les mouvements par eux-mêmes sont composés d'un set de 7 cycles pour un total de 38 mouvements. La pratique consiste principalement en des mouvements de Tsa Lung.
LE TRUL KHOR EN OCCIDENT
Guéshé Lhundup enseigne les pratiques énergétiques tibétaines dont une grande partie provient de l'ancien Tantra Mère, et le Trul-khor provenant de la transmission orale de Zhang Zhung (« Oral Transmission of Zhang Zhung : Zhang-zhung Nyan-gyud » Textes sacrés anciens).
Jusqu'à la fin du 20e siècle , ces anciens enseignements ont été gardés secrets et ont été délivré à très peu d' étudiants de toutes générations . Pour ces raisons, assister à des enseignements peut être considéré comme une occasion précieuse.
TRULKHOR : LE MOUVEMENT MAGIQUE du TIBET
Trul Khor, ou « Roue Magique » ou «mouvement magique» est une pratique tibétaine distinctive du yoga . Contrairement aux principes indiens de yoga, où le praticien a pour but de maintenir une posture physique avec le souffle qui coule naturellement, dans le yoga trul khor le praticien retient toujours son souffle pendant que le corps est en mouvement . De cette façon, il guide son souffle, qui à son tour guide l'esprit.
Les traditions religieuses tibétaines ont employé le trul khor dans le cadre de leur formation spirituelle depuis au moins le dixième siècle. Bien que le trul khor se trouve dans les cinq traditions spirituelles du Tibet, il est le plus répandu dans les écoles Kagyu, Nyingma, et Bön.
Il se peut que le trul khor eut été pratiqué depuis plus longtemps mais il fut préservé seulement dans une transmission orale . Les textes écrits nous rapportent que le trul khor fut pratiqué depuis le onzième siècle et au treizième siècle on trouve les célèbres yogis tels que Marpa, Naropa et Drugyalwa Yungdrung.
Le Trul khor est une pratique quotidienne merveilleuse, surtout pour contrôler et gérer le stress de la vie moderne dans la société. Il a le pouvoir d'équilibrer les énergies du corps , de l' esprit, et il aide aussi énormément à soutenir ses pratiques de méditation.
Le Tantra Mère Bon , entre autres textes tantriques, explique que l'esprit monte sur les courants du souffle vital (ou énergie) , comme un cavalier sur un cheval, et les deux voyagent ensemble à travers les voies des canaux. Comme le souffle qui circule dans les canaux devient plus équilibré, les canaux deviennent de plus en plus souples, permettant aux courants du souffle vital de trouver leur propre rythme de manière fluide.
En outre, avec l'aide de mouvements qui guident l'esprit et les courants du souffle vital dans les différents domaines, la pratique apporte la possibilité de guérir le système corps-énergie-esprit, qui est le modèle de bonne santé en médecine tibétaine.
Jusqu'à récemment, les Occidentaux se sont concentrés sur la réception des enseignements tibétains qui développent l'esprit, mais au cours des cinq dernières années , il y eut un intérêt croissant pour les yogas physiques tibétains.
Association SAGESSE du TIBET - Loi 1901- sous le n ° W784005768- créé par Angélique Thiriet pour Géshé Lhundup contact.sagessedutibet@gmail.com 23 Rue Montbauron 78000 Versailles